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Truffes : Comment calculer le taux d'audience utile ?

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작성자 Dwain 댓글 0건 조회 4회 작성일 24-10-04 23:32

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buche-amande-framboise22-600x450.jpg Vous pourrez ensuite impressionner vos invités en garnissant vos pâtes ou votre risotto de ces fines lamelles qui auront retrouvé l’aspect des truffes noire lisse fraîches. L’on a réussi à dresser des chiens pour la quête des Truffes noires d'été fraîches de la Hart (Trüffelhunde). Cette distinction, que l’on croit certaine, n’a été faite par aucun naturaliste ; c’est en vain qu’on chercheroit dans leurs ouvrages les signes caractéristiques des oies mâles et des oies femelles. Première méthode. Lorsqu’on n’a que quelques oies à engraisser, on les met dans une barrique à laquelle on a pratiqué des trous, par où elles passent la tête pour prendre leur nourriture ; mais comme cet oiseau est vorace, et que chez lui la faim est plus forte que l’amour de la liberté, il s’engraisse facilement, pourvu qu’on lui fournisse abondamment de quoi avaler. Tous les ouvrages d’économie rurale prétendent qu’il faut un jars pour six femelles ; mais, dans le Bas-Languedoc, le simple métayer ne conserve pas de mâle, à cause de la nourriture qu’il coûte et de sa méchanceté ; au printemps, et moyennant une légère rétribution, il conduit la femelle au mâle qu’on a gardé dans les métairies un peu considérables, pour servir d’étalon ; et il est démontré qu’il peut, sans se fatiguer, féconder un bien plus grand nombre d’oies.


À la vérité, cette graisse n’est bien sensible qu’au mois d’octobre ; elle augmente à mesure que l’oie prend de l’embonpoint ; mais, quand on s’éloigne de Toulouse, en remontant vers Pau et Bayonne, cette masse diminue, et l’espèce s’affoiblit. Assurez-vous de l’espèce et de la propreté! Au premier étage, il avança la tête dans une pièce vide ; c’était le salon. Pour cet effet, on introduit dans le jabot de l’animal du grain à l’aide d’un instrument ; c’est un entonnoir de fer-blanc dont le tuyau, long de cinq pouces et demi et de dix lignes de diamètre dans toute sa longueur, a le bout coupé en bec de flûte et arrondi, formant un petit rebord soudé et uni pour prévenir toute écorchure nuisible à l’animal ; à ce tuyau s’adapte un petit bâton pour en faire couler la graine. Dans le premier cas, c’est l’affaire de quinze jours ou trois semaines au plus ; dans le second, il faut un mois, plus ou moins. À peine les oies ont-elles séjourné quinze jours dans une pareille prison, qu’elles acquièrent tant de volume, qu’on est forcé de briser les pots Truffle pour la chasse les en tirer. Il faut tenir de l’eau dans la loge ; car une nourriture forcée et surabondante les altère beaucoup et les suffoqueroit sans cette précaution.


On enlève à chacune quelques plumes sous les ailes et autour du croupion ; on met dans une auge tout le blé de Turquie, préalablement cuit, qu’elles peuvent consommer, et, dans une écuelle, de l’eau en abondance. C’est ordinairement une pâtée composée de farine d’orge, de blé de Turquie ou de sarrasin, avec du lait et des pommes de terre cuites. On peut également servir en même temps une purée de pommes de terre ou de haricots. D’après ce qu’il en pouvait déduire, Échalote avait dû, avec M. Plusch et ses amis, être mise à une rude école. Si elle est préparée spécialement pour être mise « à la Lyonnaise », la tenir un peu ferme. Grande est notre hâte de la découvrir. Cette opération, quoique praticable par toute personne, est cependant assez délicate pour n’être confiée qu’à des mains adroites. La ménagère, accroupie sur ses genoux, après avoir mis l’instrument dans le cou de l’oie, qu’elle tient d’une main, de l’autre elle prend du grain qui est à sa portée, le laisse tomber doucement, et le baguette à fur et mesure, afin qu’il n’en reste point dans l’entonnoir ; par intervalles, elle met sous le bec de l’animal une écuelle d’eau fraîche.


10660268.jpg L’escalier en question part de votre chambre au-dessous, du fond d’une bibliothèque et aboutit ici à une armoire. Le procédé usité par les Polonais pour engraisser promptement les oies, est à peu près le même ; il consiste à faire entrer l’oison dans un pot de terre défoncé, d’une capacité telle qu’il ne permette pas à l’animal de s’y remuer d’aucun côté ; on lui donne à discrétion la pâtée dont il vient d’être question. Ce soir, elle est seule, ce qui donne à réfléchir. Le commun bruit est qu'il a esté mis en sa place, Vulgò loquuntur suppositum in eius locum. Il est resté, outre le père, deux mâles qui n’étoient pas pourvus. Mais Saint-Genis s’est encore assuré qu’ils étoient mâles, et il a constaté par là qu’en général les mâles sont blancs, tandis que leurs femelles ont toujours quelques plumes grises. M. Saint-Genis s’est assuré que les oies s’apparient comme les pigeons et les perdreaux ; il a même remarqué que quand le nombre des mâles excédoit celui des femelles de deux et même de trois, en y comprenant le père commun, il n’est arrivé aucune rixe entre les mâles ; les accouplemens se sont faits sans bruit, et vraisemblablement par les choix respectifs.

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